Plus de 1 715 000 billets ont désormais été vendus pour la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, Australie & Nouvelle-Zélande 2023™
La RP Chine a enregistré la plus forte audience mondiale pour un match unique, avec 53,9 millions de téléspectateurs lors de la rencontre contre l’Angleterre
Le trafic enregistré sur les plateformes numériques de la FIFA lors des 15 premiers jours de l’épreuve a déjà dépassé le trafic total de France 2019
Depuis plus de deux semaines, la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, Australie & Nouvelle-Zélande 2023™ conquiert le cœur des amateurs de football des deux pays hôtes et du reste du monde. À l’issue de la phase de groupes, de nombreux records ont été battus dans des secteurs aussi variés que la billetterie, les audiences TV et la couverture numérique. La compétition a également proposé un spectacle inoubliable sur le terrain, tout en établissant d’autres records dans les domaines du merchandising et de l’hospitalité, ainsi qu’au niveau du nombre de volontaires participants. À 16 jours – et autant de matches – de son épilogue, la neuvième édition de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA™ incarne parfaitement son slogan, Repousser les limites™. Sur le terrain, des pays de tous les continents écrivent leur propre page d’histoire. Pour la première fois, des équipes des six confédérations ont remporté un match de Coupe du Monde Féminine. Dès le match d’ouverture, la Nouvelle-Zélande est devenue la première équipe de l’OFC à décrocher une victoire dans la compétition, tandis que les Philippines, la Zambie, le Portugal, la Jamaïque, l’Afrique du Sud et le Maroc en ont fait de même quelques jours plus tard.
Les représentants africains battent de nombreux records, à commencer par la présence de trois d’entre eux en huitièmes de finale. Le Nigeria est devenu le premier pays africain à terminer la phase de groupes invaincu, tandis que le Maroc est la première équipe africaine à remporter deux matches consécutifs, qui plus est sans encaisser le moindre de but. Les supporters des deux pays hôtes, ainsi que des dizaines de milliers de fans ayant fait le déplacement, n’auraient manqué pour rien au monde le plus grand événement sportif féminin de la planète, qui a enregistré une affluence moyenne de 25 476 spectateurs par match lors des 48 matches de groupe, soit une augmentation de 29% par rapport à France 2019. Au vendredi 4 août, plus de 1 715 000 billets avaient été vendus, dépassant largement les objectifs de vente fixés avant la compétition.
En Aotearoa Nouvelle-Zélande, le record d’affluence national pour un match de football – masculin comme féminin – a été battu deux fois en l’espace de 12 jours ; la marque établie lors du match d’ouverture ayant été surpassée par les 42 958 spectateurs ayant assisté à la rencontre Portugal – États-Unis. En Australie, la compétition a également établi un record d’affluence pour un match de football féminin, avec 75 784 spectateurs présents pour assister à l’entrée en lice de l’Australie face à la République d’Irlande. Lors de France 2019, seuls dix matches avaient attiré plus de 25 000 spectateurs. En comparaison, 21 rencontres de la phase de groupes d’Australie & Nouvelle-Zélande 2023 ont dépassé cette marque. Les ventes de formules hospitalité ne sont pas en reste, ayant augmenté de 27% par rapport à France 2019 et de 534% par rapport à Canada 2015. À l’heure où cette édition marque une pause avant le début de la phase à élimination directe, les chiffres de diffusion du monde entier sont également extrêmement positifs, puisque des records ont été battus presque quotidiennement dans de nombreux pays. Le dernier match de groupe des Matildas face au Canada a été suivi par 4,71 millions d’Australiennes et Australiens, devenant ainsi le programme le plus suivi sur la chaîne Seven cette année. En Nouvelle-Zélande, environ 1,88 million de personnes – soit un tiers de la population – ont regardé des matches.
Le premier match de groupe de la Colombie a multiplié par trois la plus forte audience télévisée enregistrée lors de la précédente Coupe du Monde Féminine (2,84 millions de téléspectateurs), éclipsant même toutes les audiences de la Coupe du Monde de la FIFA, Qatar 2022™ (à l’exception de la finale). La RP Chine quant à elle enregistré la plus forte audience de match au niveau mondial, puisque 53,9 millions de téléspectateurs chinois ont suivi leur équipe face à l’Angleterre. Aux États-Unis, la rencontre opposant les tenantes du titres aux Pays-Bas a établi un nouveau record pour un match de groupe (6,43 millions de téléspectateurs). L’augmentation considérable des audiences TV s’est retranscrite sur les plateformes numériques de la FIFA. Le trafic numérique des 15 premiers jours a déjà dépassé le trafic total enregistré lors de France 2019, puisque pas moins de 22 millions d’utilisateurs uniques – et une moyenne de 2,4 millions d’utilisateurs par jour – ont visité ces plateformes. La FIFA s’est engagée à fournir aux 32 associations membres participantes le même niveau de soutien que pour les équipes masculines ayant participé à la Coupe du Monde de la FIFA au Qatar. Jusqu’à présent, l’organisation de 410 séances d’entraînement – 88 sur les sites d’entraînement spécifiques aux sites et 322 sur les sites d’entraînement des camps de base des équipes – a été rendue possible, une autre première pour cette édition.
Dans l’optique de ces séances, plus de 2 000 cônes ont été fournis aux équipes en Australie et 1 600 en Aotearoa Nouvelle-Zélande, ainsi que 1 536 ballons d’entraînement et 1 280 ballons de match officiels adidas, sans oublier les 6 748 chasubles destinées aux équipes et aux opérations de match. Les neuf FIFA Fan Festivals™ mis en place dans les villes hôtes de la compétition ont également établi des records d’affluence. À ce jour, plus de 400 000 fans y ont suivi des rencontres, Sydney/Gadigal enregistrant le record de 17 756 visiteurs en une seule journée. La compétition a été soutenue par 5 000 volontaires – soit deux fois plus que lors de France 2019 – donnant vie à la plus grande Coupe du Monde Féminine de l’histoire. Une majorité écrasante des volontaires sont originaires des deux pays coorganisateurs, tandis qu’environ 5% d’entre eux ont fait le déplacement depuis 68 pays issus des six confédérations.