Quatre-vingt-un officiels de match ont été sélectionnés : 27 arbitres et 54 arbitres assistants
Le soutien vidéo sera utilisé pendant la compétition
Celle-ci se déroulera du 3 au 27 novembre
La Commission des Arbitres de la FIFA a annoncé la liste des arbitres qui officieront lors de la Coupe du Monde U-17 de la FIFA 2025™. Organisée au Qatar du 3 au 27 novembre prochains, il s’agira de la première édition de la compétition à 48 équipes.
Au total, 81 officiels de match (27 arbitres et 54 assistants) issus de 35 associations membres de la FIFA superviseront les rencontres de cet événement historique.
« Cette édition de la Coupe du Monde U-17 sera exceptionnelle à plus d’un titre. En plus de mettre en lumière les stars de demain et d’offrir aux arbitres de talent une formidable opportunité de poursuivre leur carrière dans un environnement très compétitif, elle représente également pour nous une nouvelle occasion de tester le soutien vidéo. Cela nous permettra d’affiner ce système sur la base des retours que nous avons eus précédemment », a déclaré Pierluigi Collina, président de la Commission des Arbitres de la FIFA.
« Nous avons sélectionné un groupe d’arbitres qui mettront à profit l’expérience acquise et qui ont le potentiel d’être appelés pour de futures compétitions de la FIFA. Cela s’inscrit dans notre objectif de former une nouvelle génération d’arbitres hautement qualifiés », a commenté Massimo Busacca, directeur de la sous-division de l’Arbitrage de la FIFA.
Le soutien vidéo a été testé l’an passé lors de la Coupe du Monde Féminine U-20 de la FIFA™ organisée en Colombie puis de la Coupe du Monde Féminine U-17 de la FIFA™ tenue en République Dominicaine, et les retours se sont avérés concluants. Cette année, outre la compétition U-17 masculine au Qatar, il sera notamment utilisé durant la Coupe du Monde U-20 de la FIFA™ au Chili et à l’occasion de la Coupe du Monde Féminine U-17 de la FIFA au Maroc.
Ces tests font suite à de nombreuses requêtes des associations membres, qui demandaient une solution technologique moins onéreuse pour aider leurs arbitres. Contrairement à l’assistance vidéo à l’arbitrage, le soutien vidéo ne nécessite pas d’arbitre vidéo dédié. Par conséquent, les incidents susceptibles de changer le cours d’un match ne font pas tous l’objet d’une analyse. Ce système est sollicité sur demande des entraîneurs lorsque ces derniers estiment qu’une erreur manifeste a été commise concernant une situation en lien avec un but, un penalty, un carton rouge direct ou une identité erronée. Lesdits entraîneurs n’ont droit qu’à un nombre limité de demandes d’analyse. Les joueurs peuvent en outre recommander à leur entraîneur de demander une analyse.