"La Coupe du Monde est une fête. C’est un moment de plaisir où l’on est fier de représenter son pays avec ses coéquipiers. C’est aussi l'occasion de rencontrer des personnes d’autres pays et de passer de bons moments tous ensemble." Nous vivons une époque marquée par l’incertitude, les conflits et les crises. Le monde est divisé.
Grâce à la magie du football™, la Coupe du Monde de la FIFA™ s'apprête à réunir de nombreuses personnes au-delà des frontières pour faire la fête ensemble.
Football Unites the World est un mouvement mondial destiné à motiver, unir et développer le football. À cette occasion, les FIFA Legends nous racontent comment le football a resserré les liens entre leurs concitoyens, dans des périodes difficiles. Alors que la Coupe du Monde de la FIFA, Qatar 2022™ bat son plein, nous nous sommes entretenus avec l’ancien international portugais Nuno Gomes.
Vétéran de deux Coupes du Monde et de trois UEFA EUROS, Nuno Gomes fait partie des visages les plus marquants de la "génération dorée" lusitanienne.
Le Portugal a ainsi mis un terme à 16 ans d’absence au plus haut niveau en validant son billet pour Corée/Japon 2002 grâce, entre autres, aux performances de son attaquant. Quatre ans plus tard, Nuno Gomes a mené la Seleção das Quinas à la quatrième place, le meilleur résultat de son histoire dans cette compétition. "En ce qui me concerne, l’équipe nationale représente l’apogée de ma carrière", confie-t-il. "Je ne crois pas qu’il existe plus grand honneur que de jouer pour son pays. Quand on a la chance d’être international, on veut évidemment participer aux plus grandes compétitions. Et quand on parle de grandes compétitions, on pense immédiatement à la Coupe du Monde."
L’ancien buteur de Benfica a poursuivi sa longue histoire d’amour avec l’épreuve mondiale après avoir raccroché les crampons, en officiant en tant que consultant pour la télévision lors de Brésil 2014 et Russie 2018.
Selon lui, Qatar 2022 va capter l'imagination de tous les enfants du monde. "Pour moi, la Coupe du Monde est indissociable de mes premiers rêves d’enfant. À chaque fois que je voyais un match à la télévision, je m’imaginais devenir un jour footballeur professionnel. Je ne ratais pas un match de la Coupe du Monde."
"J’étais complètement fou de football à l’époque et, bien entendu, je rêvais de disputer un jour une Coupe du Monde sous le maillot portugais. J’y pensais sans arrêt. Quand on me parle de la Coupe du Monde, c’est vraiment la première chose qui me vient à l’esprit."
