samedi 07 mars 2020, 10:30

L'hebdo des bons mots

Drôles, incisives, instructives, émouvantes... Comme à son habitude, FIFA.com termine la semaine en vous proposant les meilleures déclarations entendues aux quatre coins de la planète foot.

"Je suis très content pour Marcos Alonso mais quand je vois que c’est mon défenseur latéral qui marque les deux buts et qu’entretemps, nous nous créons autant d’occasions, il y a de quoi s’interroger sur notre manque d’efficacité. Marcos Alonso a eu une grosse semaine, mais je ne veux pas que mon arrière gauche soit en tête des classements."" - Frank Lampard, entraîneur de Chelsea à propos de son arrière gauche auteur d'un doublé face à Bournemouth

"Le Real Madrid de la première période est l’un des pires Real Madrid que j’ai rencontrés à Bernabeu. Je ne le dis pas comme une critique. Nous avons aussi des problèmes. Nous ne sommes pas très bien non plus" - Gerard Piqué, défenseur du FC Barcelone, après la défaite de son club 2-0 face aux Merengues

"Son management humain est le meilleur que j'ai vu. Je me rappelle toujours que, étant encore gamin, je me disputais à chaque mi-temps avec lui. Constamment. Je me rappelle avoir pensé : 'pourquoi il ne me lâche pas ? Il y a des joueurs bien pire que moi sur le terrain'. Mais plus tu vieillis, plus tu réalises ce qu'il faisait" - Wayne Rooney, ancien attaquant de Manchester United à propos de Sir Alex Ferguson (The Guardian)

"Si je m'étais eu comme joueur, je ne me serais jamais fait jouer. C'est simple. Je me serais vendu... offert même... contre un arbre" - José Mourinho, entraîneur de Tottenham, reconnait qu'il était un joueur flemmard

"La célébration à la Mbappé ? C'est quelque chose que je fais avec mes amis... On plaisante. Évidemment, je ne marque pas souvent, et je me disais depuis des lustres que je ferais ce geste lors de mon prochain but. Je pense qu'il s'est passé environ trois ou quatre mois entre mes deux buts, je l'avais donc prévu depuis un moment" - Trent Alexander-Arnold, défenseur de Liverpool (BBC Sport)

"Que ce soit l'ancien ou le nouveau Wembley, j'adore ce stade. Vous pouvez m'y inviter quand vous voulez. Mais peut-être pas au point de me faire un tatouage du stade. Mon corps ne l'accepterait pas. Je ne suis pas assez fort" - Pep Guardiola, entraîneur de Manchester City, quand on lui propose de se faire tatouer le stade de Wembley