Eder qui souffre, Zlatan Ibrahimovic qui se prend pour Napoléon ou encore Antoine Griezmann qui s'irrite : comme chaque semaine, FIFA.com a compilé les déclarations les plus marquantes sur la planète foot. Au micro de FIFA.com "C’est plus facile de former un gardien ou un défenseur qu’un buteur. Un défenseur central, on peut lui apprendre à bien bouger, à coller à son rival… On peut lui inculquer 98 % des choses qu’il doit savoir faire. L’attaquant, on peut lui transmettre plein de choses, mais pas le sens du but. C’est à lui de le sentir. Et c’est ça que les clubs paient" - *Gabriel Batistuta, ancien attaquant de l'Argentine "Il faudrait juste essayer de savoir si c’est vraiment un succès pour les Français. Si oui, alors il faut le considérer comme tel"**- Bora Milutinovic, entraîneur de légende, au sujet de la performance de finaliste de Didier Deschamps à la tête de la France à l'UEFA EURO 2016
En France "Ce ne sont pas des chèvres, mais ils jouent comme des chèvres. On est dans le dur et j’ai une responsabilité pour qu’on sorte du dur. Dans le moment où on est, il faut s’appuyer sur nos forces, on manque de vitesse et de percussion, on joue un peu trop à la baballe" - *Michel Seydoux**, président de Lille (France Bleu Nord)
"J'ai du mal à comprendre. Mais je fais mon métier, je fais abstraction. Bien sûr, il arrive que ça me fatigue un peu. C'est difficile. Chacun a le droit de penser et de faire ce qu'il veut. Disons que c'est un peu méchant, parfois. Les gens pourraient voir différemment les choses. L'Euro est terminé. C'est du passé. On cherche à me déstabiliser. C'est de bonne guerre. Mais de temps en temps, c'est dur" - Eder, attaquant de Lille (L’Equipe) En Angleterre "La MLS est une grosse option pour moi. Pour le football et tout le reste. Je peux m’imaginer conquérir les États-Unis comme je l’ai fait en Europe. Beaucoup de joueurs restent dans leurs clubs, mais moi j’ai voyagé, comme Napoléon, et j’ai conquis chaque nouveau pays où je posais le pied. Alors, peut-être que je devrais faire ce que Napoléon n’a pas fait, c’est-à-dire traverser l’Atlantique et conquérir les States aussi" - Zlatan Ibrahimovic, attaquant de Manchester United (Aftonbladet)
"Quand il a été nommé entraîneur José Mourinho a pensé que la relève n'était pas prête, à l'image de Rashford. Il a probablement vu Wayne Rooney comme un n°10 et Martial comme un faux attaquant. Donc, Zlatan est un bouche-trou... Un peu comme Robin van Persie, il y a quelques années, qui était là jusqu'à ce que les dirigeants trouvent quelqu'un d'autre..." - Michael Owen**, ancien attaquant de Liverpool et de l'Angleterre
"J’ai toujours dit que j’aurais aimé jouer avec cet homme Steven Gerrard. Quelle légende et quelle carrière !" - Thierry Henry, ancien attaquant d'Arsenal (Twitter)
*"Sa passion et son amour pour le jeu n’ont pas changé. Il est toujours l’un des plus grands joueurs avec lequel j’ai joué. Pour moi, Zlatan est un joueur qui a la classe, il veut toujours gagner et il l’a prouvé quand je suis allé au PSG. Il fait partie de ces joueurs qui peu importe s’il joue un gros match en Ligue 1 ou il est à l’entrainement, il veut gagner. S’il ne gagnait pas, il était comme l’un de mes enfants. Il était énervé, il était fâché. Mais c’est un gagnant" - *David Beckham, ancien milieu de terrain de Manchester United
*En Espagne "Je suis ni flatté, ni préoccupé par la "Messidépendance". Je suis au Barça, la meilleure équipe du monde, et elle ne dépend pas seulement d'un joueur"* - Lionel Messi, attaquant du FC Barcelone
"Certains pensent qu'ils sont arrivés. Il y en a qui passent devant le vestiaire pro, le survêt dans les chaussettes, la casquette à l’envers vissée sur le crâne. Le gars, il ne joue même pas en réserve, il est remplaçant et il ose passer comme ça devant le vestiaire" - Antoine Griezmann**, attaquant de l'Atlético de Madrid et de la France (L'Équipe Magazine)**
*En Allemagne "Jérôme a encore besoin d'un peu de repos. Depuis l'été dernier, il est en surrégime. Ce serait bénéfique pour le Bayern et pour lui que Boateng revienne sur terre" - Karl-Heinz Rummenigge, président du Bayern Munich (Sky Sports)
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