samedi 01 septembre 2018, 17:57

L'hebdo des bons mots

Drôles, incisives, instructives, émouvantes... Comme à son habitude, FIFA.com termine la semaine en vous proposant les meilleures déclarations entendues aux quatre coins de la planète foot.

"C'est la faute de Pep Guardiola et de son Barcelone ! (rires). Comme ils collectionnaient les trophées, tout le monde a voulu évoluer en 4-3-3 et pratiquer le tiki-taka. Mais il faut des joueurs imprégnés de cette philosophie de jeu, comme au Barça, dont le centre de formation forme les jeunes en ce sens. En France, nous déployons le football qui nous réussit, comme nous l'avons fait en Russie. C'est aussi le cas de l'Atléti et nous n'allons rien y changer" - Antoine Griezmann, attaquant de la France (FIFA.com)

"Nous sommes devenus de plus en plus une équipe de possession de balle et de domination totale. C'était indispensable car nos adversaires jouaient de plus en plus repliés et avaient de plus en plus peur de nos contres. Pendant quatre ans nous l'avons très bien fait. J'ai voulu améliorer encore cela, atteindre la perfection. C'est là que j'ai été presque arrogant" - Joachim Löw, sélectionneur de l'Allemagne, revient sur l'élimination de l'Allemagne à Russie 2018

“On plaisante et on rigole souvent. Il me dit toujours: ‘Jamais de la vie, je n’aurais pu imaginer jouer un jour avec toi.’ Il m’avait vu jouer la finale de la Coupe du monde 2006 contre la France quand il était tout gamin (7 ans)" - Gianluigi Buffon, gardien du Paris Saint-Germain, au sujet de Kylian Mbappé

"Les buts marqués sont des vitamines tandis que les buts encaissés sont une overdose de fatigue" - José Mourinho, entraîneur de Manchester United, après la défaite 0-3 contre Tottenham

"Je suis un grand fan de Cristiano Ronaldo. Pourquoi ? Grâce à son énorme travail. Il sait ce qu'il doit faire pour être le meilleur et je dois m'en inspirer" - Usain Bolt, ancien athlète reconverti dans le football

"Aux entraînements de l'Inter, j'arrivais toujours ivre. À Milan, je me sentais seul et déprimé : je ne trouvais de la joie que dans la boisson. Je buvais tous les soirs. La mort de mon père m'a détruit. Ça a empiré ensuite. Je me suis isolé. J'étais triste, seul, dépressif : c'est comme ça que j'ai commencé à boire" - Adriano, ancien international brésilien